• mardi 27 novembre 2012, 20h30

Avec cette nouvelle chorégraphie Thierry Gianarelli se pose, nous pose une question : est-ce qu'une danse qui se déroule imperturbablement, pour elle-même, est un bon "support" pour mieux écouter la complexité d'un texte ? Cette question en appelant une autre : la construction sonore du texte, ne nous permet-elle pas de mieux rentrer dans l'intimité de la danse ? Plus d'informations.