• jeudi 17 novembre 2011, 21h00

Virgilio Sieni ne se lasse pas de décortiquer le geste pour en extraire l'essence et, par une mystérieuse alchimie, une parole. Dans NEI VOLTI, le geste se construit avec l'image... Virgilio Sieni s'inspire de visages de personnes qui ont résisté, des personnes qui ne sont pas célèbres, des présences marginales, à voix basse. Ce sont les visages du père et de la mère, des frères, du paysan, du prêtre, du partisan, de la grand-mère, du cordonnier, du poète, du maître. Ils prêtent leurs visages, leurs poses, leurs figures, leurs regards et Virgilio en dégage une pensée qui anime son corps...